Fin juin 2013, le MeHSIP-PPIF avait terminé les premières missions dans les pays en Algérie, Égypte, Israël, Jordanie, Liban, Maroc, Palestine et Tunisie en vue d’obtenir des informations sur les progrès réalisés sur les projets consacrés aux points chauds en Méditerranée dont le financement est déjà sécurisé. Le MeHSIP-PPIF entreprend cet exercice en étroite collaboration avec l’équipe de consultants désignée par le Secrétariat de l’UpM afin d’actualiser les projets d’investissement prioritaires visant à protéger la Méditerranée de la pollution et le PAM/PNUE. S’efforçant d’évaluer plus à fond les aspects opérationnels des projets financés, le MeHSIP-PPIF travaille également avec l’équipe d’assistance technique chargée de la mise en œuvre du “ Mécanisme de soutien à la gestion intégrée durable de l’eau” (SWIM-SM/financé par l’UE) pour tirer parti de leur expertise et de leurs ressources afin de mener à bien les missions de vérification pour les projets ayant atteint la phase opérationnelle. Avant la fin 2013, le MeHSIP-PPIF devra avoir terminé l’étude initiale des projets avec un financement sécurisé (actuellement 50 projets) accompagnée de l’instantané de ces projets.
Fin juin 2013, le MeHSIP-PPIF avait terminé les premières missions dans les pays en Algérie, Égypte, Israël, Jordanie, Liban, Maroc, Palestine et Tunisie, qui avaient pour objet d’obtenir des informations sur les progrès réalisés sur les projets consacrés aux points chauds en Méditerranée dont le financement était déjà sécurisé. Le MeHSIP-PPIF entreprend ce type d’exercice en étroite collaboration avec l’équipe de consultants désignée par le Secrétariat de l’UpM afin d’actualiser les projets d’investissement prioritaires visant à protéger la Méditerranée de la pollution et le PAM/PNUE. S’efforçant d’évaluer plus à fond les aspects opérationnels des projets financés, le MeHSIP-PPIF travaille également avec l’équipe d’assistance technique chargée de la mise en œuvre du “ Mécanisme de soutien à la gestion intégrée durable de l’eau” (SWIM-SM/financé par l’UE) pour tirer parti de leur expertise et de leurs ressources afin de mener à bien les missions de vérification pour des projets ayant atteint la phase opérationnelle. Avant la fin 2013, le MeHSIP-PPIF devra avoir terminé l’étude initiale des projets avec un financement sécurisé (actuellement 50), accompagnée de l’instantané de ces projets.
Le point de départ de cet effort a été la réunion du Groupe restreint “ Réduction de la pollution”, tenue à Barcelone le 18 avril 2012, où il a été convenu que les connaissances factuelles sur le statut des projets d’investissement visant à dépolluer la Méditerranée avec un financement déjà garanti présentaient un grand intérêt pour la CE, les IFI/bailleurs de fonds, le PAM/PNUE, le Secrétariat de l’UpM ainsi que d’autres organisations aux commandes du processus Horizon 2020. Ceci permettrait d’avoir une vue d’ensemble plus holistique des projets de réduction de la pollution exécutés, en cours ou planifiés dans le Sud et l’Est de la région méditerranéenne et aider à évaluer les principaux éléments qui entravent ou soutiennent une préparation et une mise en œuvre réussies des projets visant à éliminer les points chauds identifiés par le PAM/PNUE et par conséquent, réduire la pollution en mer Méditerranée.
Le but de cette initiative est d’obtenir des informations sur les progrès enregistrés sur les projets dont le financement est déjà sécurisé. Elle devrait également contenir des informations utiles sur le temps nécessaire à chaque étape du processus de mise en œuvre, les aspects qui ont impact négatif ou positif sur l’élaboration, la mise en œuvre ou l’exploitation, et lorsque les projets sont finalisés s’ils font ressortir un niveau de durabilité tangible.